On accuse Dieu pour tout.

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Après un drame, un accident ou tout autres qu'on estime une injustice dans notre vie ; on a tendance à accuser Dieu comme responsable des massacres et des problèmes injustes qu'on subit.
On dit souvent la question ; mais, si Dieu est parfait et aime tout être, pourquoi Il laisserait autant de guerres et d'injustice ? Pourquoi Il n'était pas là, quand j'avais besoin de lui pour sauver la personne ?

Il y a bien des manières qu'on peut penser de Dieu. Et, à force lui accusant comme responsable ou qui ne fait rien. on a tendance à vouloir lui remplacer.

Laissez moi raconter une histoire, une histoire qui peut s'identifier à beaucoup de monde qui se poseraient ces questions. C'est une histoire retiré d'un film "le chemin du pardon," que je vous recommande de le voir !

Voici l'histoire :

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Y a un père qui fait du camping au bord d'un lac, avec ses enfants. La mère était occupé dans un autre endroit, pour son travail. Le père s'est occupé d'un problème survenu et avait laissé sa fille seule quelques minutes, où elle était tranquille à jouer et à dessiner assis au près d'une table.
Quand le père a fini de régler le problème, il revient vers là où il a laissé sa fille et il ne le retrouve pas. Il cherche partout et il ne le trouve pas. Il commence à paniquer et il fait appel à la police.
La police débarque avec les chiens pour rechercher la fille disparu. Après quelques heures passées, cela aboutit à un échec et ainsi ils informent au père "qu'il y a un homme recherché depuis quelques années qui a déjà volé plusieurs enfants".
Le père panique et voit de très mauvais oeil de ce qu'il se passe.
Un peu plus tard, la police après des multiples barrages routier et de recherches dans la forêt ; ils ont pu enfin retrouver l'homme qui a volé la fille et la fille morte.
Le père effondré et ce demande ; "pourquoi cela est arrivé ? Pourquoi moi ? Je n'ai rien fait et ma fille innocente elle ne méritait pas de mourir ainsi."
Ainsi, vint la colère et la haine du père contre l'homme qui lui a volé et tué sa fille. Et, soudainement de sa nature il a commencé à accuser Dieu, en imaginant dans son coeur que "Dieu est responsable et qu'Il n'était pas là pour sa fille," pense-t'il.

Il décide de prendre la voiture et s'enfuir à rouler loin qu'il a envie, ainsi il ne fait pas attention à la priorité et se fait ramasser par un camion. Lui et sa voiture face à un gros poids lourd de plusieurs tonnes et tomba dans le comma.
Pendant son comma, il rencontre Dieu dans un lieu magnifique et proche de la nature, telle à l'image que le père de la fille défunte aime vivre ou souhaite vivre.
Il le rencontre en 3 manières différentes à l'image de la trinité.
Dieu se présenta devant lui comme une mère, car ce papa avait besoin d'une écoute d'une mère qu'il n'avait jamais pu avoir à son enfance.
Dieu le Père se présente et dit ; je m'appel Anna et je connais votre fille.
Le père de la fille défunte se pose la question et demande ; tu es Dieu ?
Dieu répond ; Je suis.
Le père réplique et dit ; vous êtes celui qui est ?
A peine la question, que Dieu coupe la parole et répond à nouveau avec confirmation ; Je suis celui là.
Dieu ne lui donne pas la réponse direct, pour que le père puisse confirmer de ce qu'il ressent et de ce qu'il voit.
Puis, Dieu présente son Fils bien aimé, (Jésus) qui est une image d'un homme simple au cheveux court et souriant. Selon comment Dieu connait le père, Il lui fait voir d'un Jésus comme un air d'un ami où le père ressent directement de la confiance. Dieu savait quel image de Jésus que le père avait besoin de ressentir une confiance, l'hors de la présentation. Comme Dieu connait tout au plus profond de chacun d'entres nous.
Ainsi, le Saint Esprit en forme d'humaine asiatique s'approche et se présente d'un prénom qui veut dire "souffle de vent." Une femme asiatique plus précisément, où Dieu savait qu'il avait besoin d'une relation aussi avec une asiatique qu'il n'en voit jamais.
Le père demande ; Qui est réellement le Dieu ?
Les 3 personnes qui se sont présentées répondent en même temps ; c'est moi !

Le père de la fille défunte verse une larme et n'en revient pas de ce qui lui arrive. Très ému et très triste en même temps. Le Saint Esprit s'en approche et lui prend une larme avec ses doigts et dit ; "nous recueillons tout ce qui est précieux, ce n'est pas vrai ? Je recueil les larmes."
Peu après, le père s'en alla en demandant qu'il revient dans quelques minutes et sort de la maison, pour se retrouver seul un moment. Et ce dit en lui "pourquoi je suis revenu à moi ?"
Car, il souffrait tellement de la mort de sa fille qu'il ne voulait pas revivre, il était donc conscient qu'il s'est fait renversé par un grand camion. Il se rappel de cette histoire qui lui a permis d'arriver à cette endroit magnifique telle qu'il imagine de vouloir vivre. Ainsi, s'approche d'un lac avec un paysage époustouflant et tente le geste de vouloir sauter dans l'eau et vouloir se laisser se noyer. Aussi peu de temps qu'il tente le geste, le Fils Jésus arrive à l'instant et lui dit ; "tu as perdu ça". Il montre une lettre et lui donna au père.
Le père lit et se rappel de cette lettre qu'il avait écrit comme suite ; "Dieu je souhaite te rencontrer et t'inviter dans mon esprit, afin de recevoir en toi ce que tu peux me donner. Et, répondre à mes questions..."
Le père se pose la question et demande à Jésus ; "qu'est-ce que je fais ici ? Qu'est-ce que je dois faire ?"
Jésus répond ; "tu n'est pas sensé de faire quoi que se soit. Tu es libre de faire ce que tu veux. Comme aller pêcher, te promener, aider le Saint Esprit à faire le jardin, aller parler avec Papa, (Dieu le Père) qui en train de faire à manger à la cuisine, à toi de choisir..."
Il lui a ainsi élaboré une liste de ce que le père aimait imaginer faire comme temps d'occupation. Il lui donne ainsi aussi une assurance de paix par le même temps et lui dit ; "je serai à l'atelier menuiser, si tu as envies tu peux venir me voir."
Puis, Jésus s'en alla tranquillement. Et, le père choisi d'aller vers la mère qui cuisine, (image de Dieu le Père).
Après être rendu à la cuisine, la mère lui dit ; "tu te souviens de ce parfum que ta mère portait ? Tu sais qu'elle t'aime plus que tu peux l'imaginer ?"
Le père réplique à l'instant et demande ; "je suis mort, c'est ça ?"
Dieu répond avec un sourire au coins des lèvres; "tu te sens mort ?"
Le père reste pensif et se met à l'idée qu'il sens son corps et qu'il n'est pas mort. Et demande ; "tu savais que j'allais venir, non ?"
La mère répond ; "bien sûr"
Le père réplique de la réponse de la mère ; "j'aurai pu refuser."
La mère répond après cela, tout en faisant la cuisine ; "je ne retiens personne prisonnier, tu es libre de partir quand tu voudras."
Le père demande avec soupire ; "pourquoi tu m'as ramené ici ?"
La mère lui répond ; "parce que c'est ici que ton coeur a échoué. Je sais qu'il y a un grand gouffre qui nous sépare et il faut que tu saches que j'ai beaucoup d'affection pour toi au delà que tu peux le croire. Je voudrai soigner cette blessure qui grandit en toi et entres nous. Il n'y a pas de remède à trouver à ta douleur. Pas de solution miracle qu'il puisse durer. La vie est un peu de temps et beaucoup d'amour."
Le père reste pensif et demande avec un peu de colère en lui ; "tu es Dieu tout puissant, c'est ça ? Alors, tu sais absolument tout. Tu peux être partout en même temps. Tu as un pouvoir illimité. Mais, pourtant tu as laisser mourir ma fille. Quand elle avait besoin de toi, tu l'as abandonné."
La mère lui répond ; "je ne l'ai jamais quitté."
Le père réplique avec amertume ; "si tu es vraiment celui qu'on te dicte de ce que tu es, au moment où j'ai eu besoin de toi, tu étais où ?"
La mère lui répond avec douceur et lui dit ; "mon fils, quand ta douleur est tout ce que tu voies c'est aussi moi que tu as perdu de vue."
Le père lui demande avec encore de l'amertume en lui ; "arrête de faire des mystères. Quand ton seul but est de m'aider, alors que tu n'as pas pu aider elle ?! C'est bien à cause de toi qu'elle est morte ! A moins que tu puisses changer ça ? Tu pourras jamais me libérer temps que tu l'as pas sauvée !"
La mère répond ; "la vérité libère tout le monde. Et, la vérité à un nom. Il travail actuellement dans son atelier, couvert de sciure de bois."
Le père répond ; "la vérité ? Je connais cette histoire. Lui aussi tu l'as abandonné ! Apparemment tu as l'habitude d'abandonner tout ce que tu prêtant à aimer."
La mère répond ; "je ne suis pas celui que tu crois de ce que je suis."
Le père répond ; "Il le dit lui même à la croix, mon Dieu mon Dieu pourquoi m'as tu abandonné ?"
La mère répond ; "non, tu as mal compris le mystère."
Et, la mère lui prend sa main et lui montre sa main et son poignet aussi ayant la marque des clous de la crucifixion et lui dit ; "ne crois pas de ce que mon Fils a choisi de faire. Il nous a pas coûté à tous les deux. L'amour laisse toujours des marques. Nous étions tous les deux. Je vous ai pas abandonné toi et ta fille."
Le père se retire ému des réponses de la mère qui était en larme sur les réponses qui lui disait. Et, sorti dehors.
La mère, vint peu après vers le père qui s'est assis devant la maison et où il regardait un oiseau perché sur une branche. Et, la mère réplique ; "il est splendide, non ? Créé pour voler. A la différence de toi, que j'ai créé pour être aimé. Vivre sans amour, c'est comme couper les ailes d'un oiseau. C'est l'effet de la douleur qu'on a sur nous. Si on la soigne pas, on peu oublier à quoi de ce qu'on a été créé. Ce n'est pas ce que je veux pour toi. Tu es là dans ce lieux pour ça, on va t'apprendre à voler."
Peut après avoir dit ces mots, elle lui invita à table et manger ensemble avec Jésus et le Saint Esprit. Le père se dit et demanda à table aux trois ; "si vous êtes bien ce que vous dites, vous devez savoir même avant tout ce que j'allais dire de ma bouche."
Les 3 répondent en même temps ; "oui, mais nous préférons entendre tout ce que tu as à dire. Comme si c'était la première fois. Nous souhaitons t'entendre parler de tes enfants tels que tu les voies."
Un soupire du père, qui a la peine à comprendre, mais qu'il comprend en tout cas l'amour de laisser libre choix.
Jésus peu après, à la fin d'avoir fini de manger proposa au père de l'accompagner à son atelier.
Le père est d'accord et le suit. Ils sont dehors et tout deux regardent le ciel. Jésus lui dit, sachant à l'avance ce qui allait se passer dans le ciel ; "regarde celui là."
Et, le père voit une étoile filante passer à peine deux secondes devant ses yeux.
Le père se confie à Jésus et lui dit ; "je sais que vous trois vous êtes étroitement lié, mais je me sens plus à l'aise quand je suis avec toi".
Jésus lui répond ; "parce que c'est le faite que je suis humain."
Le père réplique ; "mais parce que tu es Dieu aussi."
Jésus répond ; "je suis probablement l'humain qui te permet de t'approcher du Dieu le Père et le Saint Esprit. Me voir moi, c'est aussi leur voir."
Le père lui dit d'un ressenti ; "vous êtes tous les 3 différents. Je n'imaginais pas Dieu le Père comment Il se présente et encore moins le Saint Esprit.
Jésus souris et lui dit ; "Elle (la fille asiatique) est créativité, action, elle est le souffle de la vie. Elle est mon Esprit. On ne peut vivre dans l'amour qu'au sein d'une relation. C'est tout ce que nous attendons de toi. Même si tu ne le voie pas. Tu es au centre de notre amour et de notre but. Toute la beauté que tu voies autour de toi des paysage n'est pour ainsi dire rien comparé à ce qu'on voit en toi."
Le père soupire et regarde le ciel en disant ; "la dernière fois que j'ai regardé les étoiles comme ça, ma fille était à côté de moi."
Jésus lui répond ; "je sais."
Peu après, ils rentrèrent à la maison et le père alla dans sa chambre. Puis, il prit une bible qui retrouva en ouvrant un tiroir. Il commença à le lire et s'endormit. Il vint à commencer à rêver. Il rêve qu'il vole au dessus des montagnes et de forêts de sapins à perdu de vue. Il entendit une voix soudaine de sa propre fille appeler "papa !" Et, soudainement il rêve qu'il tombe du ciel et atterri sur le chemin où le tueur est passé prendre sa fille. Il voit sa fille crier "papa !" à plusieurs reprise, transporté sur les épaule du tueur, (qui s'enfui avec sa fille).
Puis, aussi tôt il se réveilla avec crainte et colère dans ces yeux. Il sorti de son lit et sortit de la maison. Il voit soudainement la mère préparer le petit déjeuner sur la terrasse.
Elle lui demanda si il a bien dormi et lui dit ; "tu sais, les rêves sont importants. Ils peuvent être d'une façon d'ouvrir une fenêtre. De renouveler l'air frais."
Elle lui dit cela, car elle sait ce qu'il a rêvé. Et, le père lui demande ; "est-ce que tu as quelqu'un que tu n'as pas beaucoup d'affection ?"
La mère répond ; "non. Je n'ai pu trouver qui que se soit. Il faut croire que je suis comme ça."
Le père réplique ; "tu t'en porte donc jamais."
La mère lui répond ; "bien-sûr que oui. Comme tout les parents."
Le père répond ; "c'est là où y a ta fameuse colère qui se manifeste. Ta fureur. Tout le monde le sait, tu as ta manière de punir les brebis qui ne rentrent pas dans les rangs."
La mère soupire et dit ; "non. Je n'ai jamais à punir une brebis. Le péché est un châtiment en soi. Il le fait de lui même. Même si il est difficile pour toi de l'accepte, je suis plutôt au centre de tout ce que tu perçois étant comme je suis le bazar pour le bien de tous. C'est mon rôle."
Le père lui répond ; "c'est dingue que tu me dises ça. Avec toute la souffrance qu'il y a dans le monde. Quel bonheur peut-il avoir pour voir enlever une petite fille par une espèce de monstre ! Ce n'est peut-être pas toi qui provoque ces horreurs. Ce qui est claire, c'est que tu ne les en empêches pas."
La mère répond ; "tu essaie de trouver un sens à l'univers partant d'une image très incomplète du monde. Tu regarde le monde par le trou de serrure de ta peine. Y a une faille aveugle dans ta vie. Tu refuses à croire que je suis la bonté. Erreur, si tu savais ce que je suis et de tout l'amour que j'ai pour toi. Dans tes moments incertitudes, tu sois en sûr que j'œuvre que pour ton bien en toute chose. Et, alors tu aurais confiance en moi."
Le père réplique avec froideur ; "Confiance en toi ? Pourquoi j'aurai confiance en toi ?! Ma fille est morte ! Et, rien de ce que tu diras ne justifiera jamais ce qu'elle a pu en duré !"
Et, aussi tôt le père donna un coup de poing sur la table d'un énervement profonde en lui. Puis, s'en alla de la table en lançant les services de table sur son assiette.
Il parti dans un chemin dans les bois et cherche le chemin de sortie.
Le Saint Esprit apparait et lui demande ; "tu cherche le chemin du retour ? Si c'est ta voiture que tu recherches, il est plus haut dans ce chemin là derrière les arbres. Juste une précision avant partir, on est pas là à se justifier quoi que se soit. On voudrait que tu guérisses, avec notre aide. Mais, avant que tu t'en aille, j'ai quelque chose à faire dans le jardin. Peut-être que tu peux m'aider en vue de la fête de demain soir ?"
Le père curieux et demanda ; "quelle fête ?"
Le Saint Esprit présenté en femme asiatique répond ; "si tu veux le savoir, tu devras rester."
Après cette échange, ils s'en allèrent tous les deux sur un chemin étroite dans la forêt. Et, le père émerveillé de la beauté des fleures et du paysage autour de lui d'un immense jardin. C'est un peu comme un jardin avec des hauteurs de plante et de fleurs plus haut que lui. Ainsi, elle la femme asiatique lui passe des outils pour travailler à débroussailler le jardin, afin de faire des plantations importantes selon elle.
Peut après ils ont fait un trou. Le père voit une branche de racine à arracher et essaya de l'arracher. La femme asiatique lui dit ; "attention, celle ci peut te tuer."
Le père demande ; "si elle est vénéneuse, pourquoi il est là ?" (Pensant que dans ce lieux magique en présence de Dieu il ne devrait avoir rien de cela).
La femme asiatique lui demande ; "tu pense que le poison devrait être banni ?"
Le père répond ; "Oui." (Avec un air de logique dans ses pensées).
La femme asiatique lui répond avec une petite étude ; "cette branche rempli d'épine t'aurait enlevé la vie. Mais combiné de cette fleure que je tiens dans ma main, elles se changent d'un antidote incroyable d'anti poison."
Encore, la femme asiatique réplique à nouveau d'un autre sujet, pendant qu'ils continuent à travailler dans le jardinage ; "une question. Quelle confiance estimes-tu ta capacité de discerner le bien et du mal ?"
Le père répond ; "un sentiment d'évidence."
La femme asiatique demande alors ; "sur quelle base t'estime ou pas que quelque chose est bon ?"
Le père répond ; "C'est bon, si cela peut m'aider. Ou, les proches, des gens que j'aime."
La femme asiatique demande à nouveau ; "et, ce qui te fait du mal ?"
Le père répond tout simplement ce qui lui fait du mal et à un proche.
Alors, la femme asiatique lui demande ; "donc, c'est toi qui est le juge ?"
Et, le père répond que ; "oui il faut croire." (Avec un air d'envie de changer de sujet, se sentant embarrassé).
La femme asiatique repense et lui demande ; "tu n'as jamais fait erreur ? Ou, revu ton opinion avec le temps ?"
Le père répond avec une pensée ; "oui."
La femme asiatique lui répond ; "les hommes comme toi sont légions, chaque personne détermine selon elle de ce qui est juste ou injuste. Quant à ta conception du bien se heurte à ton voisin qui fait du mal, cela crée des disputes. De grands pays se font la guerre. Parce que tous pensent pouvoir prendre la place de Dieu. Vous n'avez pas été créé pour ça. Etre seul isolé, la vie devrait être une conversation entres amis et entres frères." (Elle le dit avec tant d'espérance pour lui).
Et, ainsi ils finissent le jardin et le père dit ; "c'est toujours la pagaille." (d'un air toujours encore perdu).
La femme asiatique lui réplique ; "la pagaille c'est toi.".
Puis, le père tourna la tête regardant ailleurs et le Saint Esprit disparait lui laissant seul dans le jardin. En voici une image de cette homme, au beau milieu du jardin avec le trou qu'ils ont fait :

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